Tsante

Une nouvelle étude japonaise révèle une particularité biologique commune chez les personnes schizophrènes : leurs neurones présentent des tailles et des formes différentes.

La tristesse ne vit pas uniquement dans ton esprit. Elle s’imprime aussi dans ton corps, souvent plus profondément que tu ne l’imagines. Tensions, douleurs chroniques, blocages récurrents… Rien de tout cela n’est un hasard. Les neurosciences, la médecine psychosomatique et les traditions anciennes convergent aujourd’hui vers une même vérité : le corps garde la mémoire des émotions que l’on n’exprime pas.

Quand tu es avec un manipulateur, tu t’épuises à t’adapter, à douter de toi, à justifier ce que tu ressens. Peu à peu, la relation devient un brouillard mental où tu ne te reconnais plus. Mais un jour, quelque chose bascule : tu ne veux plus comprendre, réparer ou espérer. Tu veux simplement sortir de ce cycle.

Ne pas apprécier que des gens viennent chez soi — même famille ou amis — n’a rien à voir avec un manque d’affection. Les psychologues y voient plutôt un besoin de protection émotionnelle, de gestion de l’énergie et de respect de l’intimité.